Marnie Prescott ADMIN ♐ always here for you. ♈ Messages : 696 ♈ Embauché(e) le : 17/08/2013
| Sujet: Claire + J'fais pas comme Tsonga, Moi je partage pas. Dim 20 Oct - 10:54 | |
| ‶ J'fais pas comme Tsonga, moi je partage pas ″
Vazy t'allais pas rester là pendant cent sept ans non plus. Tu regardais à nouveau ton compère qui continuait inlassablement son discours. C'était peut-être important, mais toi tu ne comprenais pas un mot qui sortait de sa bouche. Genre la finance c'était ton truc? WTF? C'était à peine si tu savais continuer jusqu'à trois alooors.... Dire que tu aurais pu jouer au sims sur ton ordi Tu soupirais, faisant encore une fois semblant de prendre des notes. T'as feuille ressemblait beaucoup plus à des des gribouillages qu'à autre chose. Heureusement pour toi, tu étais assez loin et t'as sublime poitrine cachait la majorité de tes méfaits. Il suffisait simplement que tu hoches de la tête et personne ne te soupçonnerais. De toute façon ce n'était pas comme si tu n'étais pas la seule à écouter. En effet, tu étais quasiment sûre et certaine que le chauve à coter de toi jouait à Candy Crush sur ton portable et l'autre à ta droite dormait complètement d'où la présence de ces lunettes de soleils. Avec ton plus beau sourire, et tout ce qui faisait ton charme tu demandas poliment une pause. Fallait pas exagérer non plus, surtout que là tes neurones c'était barrés à Hawai sans toi. Toute contente et fière d'avoir réussie ton coup tu te jetas sur le distributeur de friandise. Après l'effort, le réconfort.
Trop cool il restait juste un kinder bueno riiiien que pour toi. Ni une, ni deux, tu dégainas ta pièce telle une cowbow dans le far west. Tu attrapas ta barre chocolaté que tu brandissais tel un trophée dans les airs. Ouai, il fallait vraiment que tu arrêtes de regarder autant la télé. Puis une pause gourmandise impliquait aussi une toute autre pause. C'est donc tout naturellement que tu dirigeas vers les toilettes des dames.
|
|
Invité Invité
| Sujet: Re: Claire + J'fais pas comme Tsonga, Moi je partage pas. Dim 20 Oct - 16:03 | |
| Stagiaire, autant nous appeler femme à tout faire, limite je suis femme de ménage. Je me fais traiter comme un chien, pas chienne parce qu'on pourrait croire autre chose si je vous dis ça au féminin. J'ai attendu depuis mon réveil cette pause bien méritée qui me ferait aller d'un pas lent jusqu'au distributeur de la boite. C'est bien parce que je ne veux pas jouer avec l'argent de papa parce qu'aussi non le moindre emmerdeur, verrait sa gueule dehors. Que voulait vous, je suis trop gentille... Ou alors c'est parce que j'ai envie de baisé tranquille les collègues? Vous ne saurez jamais, à part si vous me foutez une caméra dans le sac ou piiiiiiire ! Dans la culotte, mon dieu!
Après avoir revu quelques dossiers que l'on m'avait donné à vérifier, j'ai eu le droit à ma pause et c'est vraiment parce que j'ai regardé ma montre avec insistance qu'on m'a laissé partir. Alors d'un pas lent, je me suis dirigé vers le distributeur où je pourrais prendre mon kinder Bueno journalier. Quand je suis arrivé au distributeur, j'ai croisé la brune là, je sais même plus son nom à elle... Mythomanie? Ah non, Marnie, ouais c'est ça.
Elle était entrain de brandir le dernier Kinder, la chienne!! Ah, pardon. Les toilettes maintenant, elle se rendait dans les toilettes! J'ai décidé de la suivre d'un pas décidé, convaincu que le kinder bueno était à mon nom et pas au sien ! Kinder Claireno! Je suis arrivée dans la partie où on souhaite être tranquille, pas être dérangé par une quelconque personne piqueuse de sac... MOI! J'ai regardé par dessous les toilettes, de loin parce que je ne voulais pas tombé nez à nez avec la culotte de femme de ménage...Berk ! AAAAAH, j'eus un grand sourire sur le visage parce que je reconnu les chaussures de Marnie, son sac au sol quelle charmante attention à mon égard. Malhreusement pour moi, je n'eus que son rouleau de papier toilette. C'est emmerdant quand on l'a pas et qu'il n'y en a plus dans les toilettes, hein? Je sais. J'ai repoussé le sac en gardant le rouleau en jetant des regards vers la porte, d'un air diabolique. |
|