âge ✝ 27 ans. date et lieu de naissance ✝ le 19/06/1986 à Santiago du Chili . statut social ✝ moyenne. statut familial ✝ Célibataire. nationalité ✝ Chilien. origines ✝ Irlandaises. métier/étude ✝ "Publiciste" au Département Communication. caractère ✝ Faignant; Passionné; Râleur; Ambitieux; Charismatique; Secret; Moqueur; Réaliste; Généreux.  groupe ✝ Cappucino. célébrité ✝ Andrew Cooper 

manies et habitudes ✝ Alejandro est né à Santiago d'une mère d'origine Irlandaise. Il a un demi-frère qui termine ses études là_bas. Il parle couramment Espagnol, Anglais et Portugais. Doué à l'école et bon rugbyman il a obtenu différentes bourses et des bons résultats scolaires qui lui ont permis d'étudier dans de prestigieuses universités.

Alejandro aime écouter du jazz dès le matin en prenant son petit déj'; il est pompier volontaire dans une brigade de Londres; il ne se sépare jamais de son smartphone et ramène ainsi souvent le boulot dans le privé; il a accroché des photos de chaque spot de surf qu'il a fait sur son mur au boulot; il est en travaux chez lui depuis deux ans et ne terminera jamais à ce rythme là; il est toujours impeccable et pourtant ne passe jamais plus de 15 mins dans sa salle d'eau; il a une réserve secrète d'After Eight dans un tiroir; il est un grand amateur de cuisine et de bons vins; Il aimerai visiter la France et l'Espagne; Il répond toujours aux mails immédiatement mais ne décroche presque jamais son téléphone; il a horreur de se voir et de se faire prendre en photo; il aime diriger, coordonner, il est un bon chef d'équipe, et un bon publiciste avec un esprit très créatif mais en même temps réaliste et ambitieux, il se livre très peu et en fin de compte se révèle assez mystérieux; il appelle sa mama au moins une fois par semaine; il voudrait une maison avec un petit jardin et ne supporte plus les embouteillages de Londres; Super fêtard (il est Irlandais et latin après tout), buveur incroyable, il n'est jamais malade en soirée, vrai trublion, c'est l'inverse le jour, plutôt discret. Il est souvent en retard aux rendez-vous ou aux réunions, et il est jamais le dernier pour critiquer son entourage et ses chefs, le système tout entier d'ailleurs est coupable à ses yeux. Gros buveur de pintes, il est en revanche allergique à la fumée (sauf en soirée bien sur, puisqu'il a bu) même "électronique". Gourmand, généreux il déguste et partage presque tout. Bon pote, ami sérieux, mec insupportable pour d'autres, il a trouvé son équilibre comme il est, et ne veux surtout pas changer. Il est assez doué avec les relations humaines, mais a du mal a se faire comprendre avec les femmes; d'ailleurs, il fait semblant de rien mais il y a bien une fille de la boite qui lui plus tapé dans l’œil que les autres. Dernier détail il n'est jamais vraiment célibataire et trouve toujours quelqu'un pour occuper ses nuits, son lit, ou encore ses diners.

+ time is money, business is business.
Dehors il faisait nuit. Il avait l’impression qu’il faisait toujours nuit, il arrivait le matin ; il faisait nuit. Il repartait le soir…ou le lendemain ; il faisait nuit. Et quand il faisait nuit, c’était parfois Hong-Kong, Sidney ou autre qui nécessitait son attention. Du haut de cette tour de béton et de verre il contemplait les lumières de la ville endormie, les phares des voitures comme des ballets de lucioles, et les lueurs des spots éclairant la City. Il aurait pu d’ici, de si haut, se sentir comme avant, puissant. Mais la tour était fragile et l’Empire financier s’écroulait, il ne s’agissait plus de châteaux devant lui, mais chaque gratte-ciel ressemblait désormais à la proue émergée d’un navire sombrant à pic, tels des Titanic modernes. C’était la crise, c’était la panique, tout le monde le savait mais personne ne comprenait pourquoi, comment on en était arrivés là. Enfin, en vérité on faisait semblant de s’étonner : Ah alors il y a avait eu des risques et l’on avait été inconscients ?
Il poussa un profond soupir, sa carrière venait de s’effacer devant lui, remettant tout en question. Trop jeune, petit nouveau, il venait de se faire licencier, comme beaucoup d’autres. Il se retrouvait là, dans le noir de la salle d’ordres, alors qu’en bruit de fond il entendait un collègue s’affairer sur une affaire, seul. Qu’allait-il devenir lui ? Il s’était lancé dans cette carrière, dans la finance, un peu par hasard, parce qu’il était doué…et puis aujourd’hui on parlait de lui comme d’un ennemi, d’un fou aux mains brulées par l’argent des autres, il était à en croire la télévision responsable de tout cela. Et puis la pression, la fatigue, nerveuse, physique, retombait aussi. Il n’aimait pas ce milieu, la finance, et les Anglais, n’avaient pas du tout le même entrain et la même joie de vivre que chez lui, en Amérique du Sud. Il avait découvert la différence entre un ami et un collègue, pour la première fois de sa vie. Et l’hypocrisie des chefs européens, qui l’avaient accueilli à bras ouverts, et le jetaient comme un malpropre aujourd’hui. Il saisit un petit carton dans lequel s’emmêlaient entreposées à la va-vite quelques objets personnels, et sans autre forme de procès quitta la salle sombre et vitrée ; il était jeune, il changerait de métier, il ferait ce qu’il aimerait, il réussirait, il n’avait pas d’autre choix.